« René Girard, on le lit, on le lira, on le relira » concluait Marie-Dominique Lelièvre dans son article* publié le 4 janvier 2003 dans Libération.
Quand j’ai rencontré René Girard et ses théories, à la fin des années 1990, j’ai aperçu une étincelle dans le long tunnel de la vie.
L’accompagnement du changement étant parfois délicat, j’ai choisi la simplicité de l’écriture pour les enfants de 6 à 9 ans. Ce projet a pris alors sens au fond de ma tête, de mon cœur et, de mes tripes.