La confiance, comme la foi, est toujours quelque part un saut dans le vide.

adhésion totale de l’homme à un idéal qui le dépasse, à une croyance religieuse
La confiance, comme la foi, est toujours quelque part un saut dans le vide.
La confiance en soi fait le sot ; la foi en soi fait le grand homme.
L’homme bon n’espère aucun appui du monde, il puise sa force en Dieu. L’homme persévérant ne laisse pas reposer sa foi sur l’inconstance humaine. La vertu vit seule.
Quand la foi à la parole a été détruite, sans confiance l’intimité est impossible.
L’étymologie du mot est excessivement parlante, cela vient du mot « confidere » c’est-à-dire : avec foi. Cela veut dire que quand on fait confiance à quelqu’un ou quand on se fait confiance à soi-même, on est dans le registre de la foi, de la croyance ; on croit en soi ou on croit en l’autre.
Si on croit c’est que l’on ne sait pas. […] Donc la confiance est asymétrique et d’une certaine façon nous rappel la croyance, c’est l’opposé de la connaissance qui est symétrique […].
Vivre ma vie, c’est lui faire confiance, c’est ouvrir ma porte le matin et me jeter à l’aventure.
La confiance, comme la foi, est toujours quelque part un saut dans le vide.
C’est la confiance réciproque avec les autres qui donne le courage de surmonter tous les obstacles.